4 février 2008
Il faut souffrir pour être belle
Après 1h30 de souffrance (na, c'est faux, la moitié du temps je souffrais pas), j'ai enfin ma pouliche (ou petit poney, pour vous qui êtes de l'autre côté de l'océan). Elle est sur mes côtes, pour les déficients visuels, et relativement grosse. C'est donc un gros poney. Je l'aime. Évidemment, il manque la couleur, mais mes côtes (et mon corps au complet) n'en pouvaient plus, on a donc dû abréger la séance.
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